2. A son compte – Carl Mørck

 

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Sacré bâtiment, dis donc !

Carl: Ah, Lama, tu tombes à pic, je vais démissionner !

Tu démissionnes à la bibliothèque toi ?

Carl: Par ordinateur. Simple, gratuit et rapide. Et je compte également consulter les sites de rencontre, comme tu me l’as conseillé.

Tu m’as l’air déterminé.

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Carl: Bien sûr que je suis déterminé ! Je vais devenir architecte bâtisseur et travailler indépendamment, sans patron. La belle vie, non ?

Exactement ! Mais comment tu vas faire pour gérer ton affaire ?

Carl: J’aurai peut-être besoin d’un local, un bureau pour faire mes plans, dessiner, imaginer, écrire la paperasse etc. Et pour recevoir mes clients. Pour l’instant, mon bureau à l’appartement suffira, il faut juste que je meuble un peu tout ça. Ensuite, les clients – des entreprises de construction – m’appelleront s’ils verront une pub et qu’ils seront intéressés, et donc je devrai élaborer des plans pour une maison ! C’est super, non ?

Carrément !

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Carl: J’ai trouvé un profil intéressant, au passage: celui d’Amanda De Santa !

Parfait ! Elle est jolie, je l’avais déjà croisé, quand tu dormais, dans une rue en bas. Je ne sais pas ce qu’elle faisait-là la nuit, mais elle m’a l’air pas mal du tout !

Carl: Ok, va pour Mlle De Santa.

Si elle n’est pas mariée.

Carl: Je ne pense pas qu’elle le soit si elle s’est inscrit sur un site de rencontre. Mais je ne veux pas de relation extraconjugale !

Enfin un homme honnête dans ce monde !

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Le Pinewood Skybar… Carl, dis-moi que tu n’as pas l’alcool mauvais !

Carl: Non, rassure-toi, je veux juste boire un verre, manger et, à l’occasion, faire des rencontres.

Oooooh 😀

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Wow. Ca c’est un bar ! J’ai l’impression d’être dans une jungle là !

Carl: C’est impressionnant. On voit toute la ville d’ici ! Il faudrait que je prenne cet endroit en photo !

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Carl: Un Réticulateur de Splines s’il-vous-plait.

Barman: Hey man, c’est ok pour l’Réti’ ! Elvis, fait chauffer l’mixeur !

Carl, tout bas: Ce mec m’a l’air zarb… J’imagine que le mec derrière moi est Elvis.

Pas du tout, c’est Armel Varveaux, un paparazzi probablement venu se saouler parce qu’il n’a pas trouvé de star à photographier…

Carl, toujours en chuchotant: Ok, alors où est Elvis ?!

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Carl: Mmm, de bons nachos… Y’a qu’en Amérique et au Mexique qu’on trouve ça.

Eh bien, j’imagine qu’étant donné qu’on est en Californie… Tu n’as qu’à descendre et prendre à droite puis aller tout droit et tu arrives au Nouveau Mexique.

Carl: Merci pour les cours de géo ! *rrrrrramiamiamiam*

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Barman: Dites-moi, z’êtes pas d’ici vous.

Carl: Non, je viens d’emménager. Je suis originaire du Danemark. Et vous ? Vous n’avez pas non plus le physique type d’un californien.

Barman: Oh, vous savez, ma mère était une hippie qui vagabondait parmi les États du pays, alors vous savez, elle couchait un peu à droite à gauche, c’qui fait qu’j’ai jamais su si j’étais de l’Arkansas ou de l’Indiana… Ou p’têt bin du Wisconsin. Sais pas.

Je ne fais pas confiance à ce type. Allons-nous-en. De toute façon, y’a pas un rat.

 

A l’appartement…

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Bonne nuit, monsieur l’indépendant !

 

Le lendemain matin…

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Salut ! Bien dormi ?

Carl: Pour une fois, oui.

Alors, quoi de prévu pour aujourd’hui ?

Carl: Aujourd’hui, journée bric-à-brac. Nettoyer l’appartement, réaménager le bureau, réparer la douche qui fuit et voir si je peux obtenir quelques missions.

Ok, c’est un bon programme !

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Oh mon Dieu, Carl… La salle de bain est inondée.

Carl: Je sais. Je verrais ça après, pour l’instant il faut que je répare la douche.

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Carl: Douche réparée et prise, salle de bain nettoyée. Josh, descend du lit.

Voilà un homme qui sait où il va !

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Tu as enfin réussi à faire cuire un plat !

Carl: Oui, des macaronis au fromage, c’est tout bête mais je pense que je maitrise le nouveau four mieux que l’ancien. Josh, la télévision t’intéresse ?

Josh: Chuuuut ! Tais-toi, ça m’intéresse !

Carl: Chut chut chut Josh, je n’entends rien.

Attends… Ah mais oui, je comprends Josh, mais pas Carl, il croit qu’il aboie du coup…

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Carl: Alors, comment peut-on réorganiser la pièce de façon plus conviviale ?

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De cette manière, c’est pas mal. Bon, ce sont les meubles qu’il faudrait changer par contre.

Carl: Oui bon, j’ai fait avec les derniers meubles que j’avais à la cave et l’ordinateur que la vieille voisine du dessus m’a refilé parce qu’elle n’arrivait pas à le faire fonctionner… En réalité, elle n’avait pas vu le bouton power.

Donc tu as un ordi tout neuf (même s’il est vieux) mais tu as préféré oublier de dire à cette dame qu’il fallait appuyer sur power pour l’allumer… Tu ne serais pas un petit voleur toi ?

Carl: Rhôo, voleur tout de suite… Et puis qu’est-ce-qu’elle pourrait faire sur internet si elle ne sait pas allumer l’ordinateur ? Elle ne sort jamais de chez elle et a une tonne de livres alors…

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Carl: J’ai trouvé ! Et c’est du lourd: une société de construction veut raser deux parcelles dans le quartier défavorisé d’Alpine County, ils veulent construire des vrais maisons à l’américaine. Si je réussis ces deux maisons, ils m’engageront pour faire tout le quartier ! Il est petit, mais ça vaut le coup ! Plusieurs mois de travail sur les projets que j’aime et, à la clé, 6000 simflouzes de récompense pour chaque maison ! Si ce n’est pas une occasion en or…

CHOPPE-LA-MOI !

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Carl: Pour ça, il faut que je fasse les plans, et j’en ai pour toute la soirée !

Pas de problème.

Carl: Demain, j’irai voir le quartier avec Josh, ça me permettra de voir l’envergure du projet et de promener le chien en même temps.

D’accord !

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L’avenir de mon fondateur s’annonce radieux !

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Eh, l’immeuble n’est pas un monument ! Arrêtez de mourir et de squatter autour ! Non mais… Toi aussi, dégage, Patrick !

Patrick le Révérend: Eh, je fais mon boulot moi, j’embarque les morts dans l’autre monde… Si tu m’offres une bière, j’me barre.

J’ai pas de bière.

Patrick le Révérend: Alors je squatterai.

 

Le lendemain matin

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Déboucher les toilettes le matin… Y’a rien d’mieux pour bien se réveiller.

Carl: Je ne te le fais pas dire.

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Carl: Je vais quand même manger un bout avant d’aller voir les terrains…

 

Après avoir « mangé un bout »…

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Carl: Voilà les deux bicoques à détruire. J’avoue que c’est pas du confort total là-dedans.

Tu as des idées pour les rénover ?

Carl: Avec un budget de 45 000§ ? Je pense. Ils m’ont même accordé 5 000 de plus, au cas où.

Très bien ! Et maintenant, qu’est-ce-qu’on fait ?

Carl: Les démolisseurs vont arriver, ils en auront pour trois heures, j’aurai le temps de discuter avec eux pour la construction et de jouer un peu avec Josh !

Bonne idée !

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Et voilà les constructeurs ! Respectivement Jeff Simy, maçon et charpentier, et Guillem Tapia, bâtisseur et directeur du projet.

Guillem Tapia: Bonjour Carl, je suis ravi de faire votre connaissance ! J’espère que vous êtes prêt ! Dans probablement moins de trois heures, la maison sera rasée et le terrain débarrassé des ordures ! Nos gars vont bientôt arriver. Alors, montrez moi ces plans…

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Puis la maison fut passée au bulldozer. Durant ce temps, Josh et Carl on pu jouer et saluer les habitants du quartier. La destruction achevée, Carl débuta la construction de la première maison.

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Carl: En une journée, on a quand même un peu avancé ! Regarde moi ça. Demain, elle sera finie. Dans un an, si je suis embauché, le quartier sera rempli de jolies maisons anglaises. Quoi de plus charmant qu’un petit quartier mignon qui cache sous ses beaux airs des gens accros au tabac et aux émissions de téléréalité ?

Tu as une conception du monde… j’hésite entre pessimiste et réaliste. Bref, c’est l’heure de rentrer à la maison !

Carl: Tu as raison. Demain, première heure, je dois être ici en pleine forme ! Josh, tu viens ?

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Carl: N’importe quoi. Comment peut-on faire cramer un gâteau ?

Attends, c’est pas toi qui avait fait brûler tes macaronis ?

Carl: Sauf que les miennes, elles étaient sur le four et que je ne le maitrisais pas. Mais ça fait une semaine que cette émission passe, en une semaine, quand tu es bon cuisinier, tu sais manier un objet de cuisine ! De toute façon, je n’aime pas trop ce programme, je préfère les Escapades de Petit-Peugeot. Il est temps d’aller voir si j’ai des messages pour un rendez-vous !

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Carl: Bon, toujours la même couguar qui m’envoie des messages… Oh oh oh, je crois que j’ai une prise !

Ah, avec qui ?

Carl: Un profil intéressant, plus que celui d’Amanda De Santa… D’ailleurs elle n’est plus là. Je note ce nom: Abigail Lowery.

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Ma parole, mais c’est l’hécatombe ! Encore deux cette nuit !

Patrick le Révérend: Je t’avais dit qu’il me fallait une bière ! Si tu ne m’en donnes pas, la prochaine fois, je viens avec mon pote Mumu !

Ah tiens, il est pas à la retraite lui ?

 

Le lendemain…

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Carl: Voilà arrivé le grand jour ! Je vais bien réussir à me débrouiller tout seul. Les gars de l’entreprise vont arriver d’ici trois quarts d’heure, normalement.

D’accord, je te laisse faire, je vais essayer de prendre quelques photos des jolis coins d’Alpine County.

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Trois jolis quartiers. Le premier, au nord de la ville, l’Alpine County Hills Lake, le coin avec des maisons modernes et des hangars à bateaux. Ca pourrait être pas mal de venir vivre ici. Bref, le deuxième, c’est le quartier de la Pinède, un quartier riche fait de McMansions avec des portails d’entrée dans le quartier. Troisième image, un quartier à l’est, plutôt pour les grandes familles, avec des maisons à l’américaine aussi, avec un petit parc/terrain de football devant. Un coin ou l’on pourrait s’installer aussi !

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Le temps passa, les coéquipiers de Carl arrivèrent et, petit à petit, la maison fût construite entièrement, avec ses deux chambres, sa cuisine pré-aménagée, sa cheminée, son garage… Carl et les autres étaient ravis de leur travail, même si cela leur avait donné du fil à retordre. Carl se sentait plus épanoui et sentait que la construction était faite pour lui. C’est avec joie que Carl apprit qu’il avait été sélectionné d’avance pour les futurs projets de l’entreprise, et se lia d’amitié avec Guillem, le bâtisseur et opérateur. Les douze coups de midi sonnés, la bande se retrouva autour d’un barbecue que Jeff avait apporté, faisant la joie de tous, et savourèrent des brochettes de chamalows avec des légumes et de la viande. Mais il était temps de se remettre au travail, le jardin n’était pas aménagé et la seconde maison devait être prête d’ici demain. N’est-ce-pas, Carl ?

Carl, tout bas: Tout à fait ! Mmm… Un régal !

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Et c’est avec un peu de fierté, il fallait l’admettre, que l’équipe finit cette maison.

Carl: Et on a même un peu de temps pour commencer la deuxième ! Même si elle sera plus grande.

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Jeff: Bon, les gars, l’heure de fermeture de l’entreprise est passé, faut qu’on rentre si on veut pouvoir déposer le matériel là-bas. Carl, à plus, et merci pour ton aide !

Carl: A demain !

Vous avez eu le temps de faire l’étage ?!

Carl: Un mec est venu nous donner un peu d’aide, donc on a fini le jardin plus tôt. Je suis aussi étonné qu’on ait été si rapide, n’empêche.

Allez, demain, tu finis ça, mais en attendant, il n’est que seize heures, tu peux aller voir si tu as des messages d’Abigail !

Carl: Bonne idée !

 

A la bibliothèque…

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Carl: Alors, voyons voir ça… Oh, mince, elle m’a dit non.

Tu peux toujours essayer d’aller sonner chez elle ! Je pense savoir ou elle habite.

Carl: Tu l’as espionné ?!

Tout de suite les grands mots. Non, je l’ai simplement suivi.

Carl: Ça revient au même…

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Carl: Ici, tu es sûr ? Et comment je fais pour l’approcher ? Je peux pas lui dire « Salut, mon ami imaginaire t’a espionné et m’a dit où tu habites. Tu veux coucher avec moi ? »

De un, je ne suis pas imaginaire. De deux, non, tu ne peux pas lui dire ça. Mais tu peux lui dire « Bonjour, je suis architecte, je travaille dans l’entreprise de construction qui va rénover le quartier, vous savez ? » !

Carl: Mais oui, tu es un génie !

Je savais B)

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Heu, attends, c’est Abigail ça ?

Carl: Bonjour, Mlle Lowery, vous avez un moment ? Je suis architecte et je dois venir voir l’état de votre maison, je travaille pour Hills Worker Company, l’entreprise de construction qui compte rénover tout le quartier.

Abigail: Bien sûr, je viens de rentrer du travail, vous permettez juste que je m’habille correctement ? Vous pouvez vous asseoir si vous voulez.

Carl: Bien sûr, merci.

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Carl: Cette femme m’a l’air très gentille.

En effet. Mais j’ai l’impression que la vie n’a pas été tendre avec elle.

Carl: Pourquoi ?

Tu as vu comment elle était fringuée ? Je paris qu’elle bosse au stand de nourriture au festival d’été.

Carl: Merde. Pauvre femme. La revoilà !

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Carl: Donc, je disais que je suis Carl Mørck, architecte, et je travaille pour la société Hills Worker Company, société de construction qui va reconstruire tout le quartier.

Abigail: Oui, je sais, je vous ai vu à l’œuvre ce matin, en partant au travail.

Carl: Je suis venu vérifier l’état de votre maison, pour savoir si l’on peut simplement la rénover ou s’il faut tout reconstruire.

Abigail: Eh bien, les murs sont en bon état, les ardoises commencent par contre à se décoller de la charpente. Je serais en revanche ravie si vous me rénoviez l’intérieur. Mais je n’ai pas l’argent pour ça !

Carl: Ne vous en faites pas, les travaux coûtent 6000§ à chaque habitant et les deux tiers sont remboursés par la sécurité sociale. Donc ça ne vous fait que 2000§ au final. Et puis, je peux m’arranger pour vous faire payer moins cher. Une jolie femme comme vous ne devrait pas avoir à payer une telle somme pour avoir une maison convenable, surtout que vous portiez une tenue qui me semble tout droit sortie du stand de nourriture du festival d’été…

Abigail: Oh, merci pour le compliment ! Et oui, en effet, j’ai un boulot merdique, on peut le dire, mais je n’ai pas eu le choix… Bon, je vous fais visiter la maison ?

Carl: Pas de problème !

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Abigail: Donc vous avez vu le salon, voici la cuisine et le coin arrangé en salle à manger.

Carl: En effet, c’est pas du moderne tout plein…

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Carl: La chambre, je suppose.

Abigail: Oui. J’ai pris des meubles de premier prix, je comptais faire des économies pour m’acheter une maison un peu plus grande. Mais nul besoin puisque vous allez rénover ma maison. De toute façon, je vis seule alors je n’ai pas besoin non plus d’une baraque comme il y a dans les quartiers au dessus.

Bonne nouvelle, elle est célibataire !

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Abigail: La salle de bain. Pas très pratique avec une taille aussi petite.

Carl: Il va aussi falloir troquer cette cabine contre une vraie douche.

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Carl: Et le garage. Vous ne vous en servez pas ?

Abigail: Le voisinage m’a l’air honnête, je peux laisser ma voiture dehors, cette pièce me sert de buanderie et de lieu de stockage pour les choses encombrantes.

Carl: Vous ne vous servez pas de votre batterie ?

Abigail: Oh, ce n’est pas la mienne. J’ai emménagé il y a à peine une semaine, les habitants étaient partis je-ne-sais-ou, ils m’ont donné les clés, et se sont barrés aussi vite que la lumière. Ils avaient oublié leur batterie ici… J’ai entendu dire qu’ils avaient des soucis avec un gang du coin, je n’en suis pas sûre. Vous voulez voir l’extérieur ?

Carl: Pourquoi pas !

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Abigail: Et voilà. Bon, il n’y a pas grand-chose à voir, si vous pouviez me mettre une vraie pelouse et pas une espèce de moquette mal faite…

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Abigail: Donc, concrètement, comment va se dérouler la rénovation ?

Carl: SI tout se passe bien, nous aurons fini la rénovation en une journée. Comme il n’y a rien à raser, rien à construire, nous engageront deux charpentiers, un ou deux maçons et je m’occuperai de l’intérieur avec deux ou trois collègues. En revanche, vous ne pourrez pas dormir chez vous, donc il faudrait voir si vous pouvez vous faire héberger.

Abigail: Ah… Le souci, c’est que je n’ai pas d’ami étant donné que je viens d’emménager et qu’il n’y a que deux hôtels, et ce sont des hôtels de luxe. Mais je n’ai pas les moyens de me payer une chambre dans un hôtel cinq étoiles moi !

Carl: Ah, il y a aussi ce facteur à prendre en compte… Ecoutez, je vous propose quelque chose: puisque vous m’intriguez, on va boire un verre ensemble et je vous paie votre chambre à l’hôtel. D’accord ?

Abigail: Mmm… D’accord. Vous me semblez sympathique. Mais vous me promettez que vous n’êtes pas un foutu psychopathe qui kidnappez, torturez et violez les femmes pour combler son manque de social.

Carl: Haha, je vous le promets.

Ah, le coquin !

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Pas mal ta proposition, elle a accepté en plus !

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Abigail: Waow. L’Underworld… Ce bar porte bien son nom, on y voit rien !

Carl: Abigail, vous voulez un alcool ou un cocktail ?

Abigail: Les deux ! Et, oh, Carl, vous pouvez me tutoyer vous savez !

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Je sens que ce liquide va rendre nos deux « amis et c’est tout POUR L’INSTANT » un peu foufous. Donc je vous laisse vous amuser, on se retrouve dehors !

 

Après quelques heures à discuter des travaux…

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Une chose est sûre, il y avait bien de l’alcool dedans !

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Je paris que dans quelques jours, Carl partagera son lit ! Et vous, qu’en pensez-vous ?

 

A suivre !

 

Chapitre suivant – Hotel California

 

 

6 réflexions sur “2. A son compte – Carl Mørck

  1. Moi j’aime le barman :’D ! Y’a que des gens super bizarres dans ce quartier c’est génial xD. Mais on reste sur notre faim là, tu n’as pas répondu à la question existentielle …… Où est ELVIS ?! D:

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